Parce que tu étais là pour moi : Minegishi Minami
Dans son interview, Miichan raconte comment sa grand-mère a été une constante source d’énergie pour elle. C’est très touchant, et je pense que c’est spécialement intéressant car cela offre un regard sur ce que signifie être idol.
Comment les mots de ma grand-mère m’ont sauvés de l’absentéisme scolaire
[Pourquoi Minegishi est-elle une center?]
[Je veux me distinguer comme une fille super mignonne]
[Je suis un peu déçue maintenant]
C’étaient les choses que je pensais de moi-même il y a 4 étés.
A cette époque, j’étais une membre de la Team A pour le 3ème Stage [Dareka no Tame ni], et nous venions juste de le terminer pour la toute première fois. Jusqu’à présent, j’ai toujours été en retrait par rapport aux autres membres, tenant juste mon micro et dansant en dernière ligne, et j’avais peu de chance d’apparaitre devant pendant le concert. Par conséquent, je n’avais pas beaucoup de fans. Donc, je me suis dis à moi-même, “Cela serait si bien d’avoir une meilleure place”.
C’était...
Parce que tu étais là pour moi : Masuda Yuka 11 AVRIL 2012 AT 23 H 09 MIN
Même lorsqu’elle a été trahie par ses meilleurs amis, même lorsque le monde entier lui a tourné le dos, la mère de Yuka lui a toujours apporté son soutien. Un histoire très touchante à propos de l’amour inconditionnel d’une mère.
Le précieux amour que tu m’as donné lorsque je n’avais plus confiance en personne.
Avant d’avoir obtenu mon diplôme au lycée, ma vie était pleine d’obstacles.
Je suis entrée dans les AKB48 lorsque j’étais en 5ème, et j’ai déménagé à Tokyo par mes propres moyens. À cette époque, j’étais vivement contre le fait que ma mère vienne me rendre visite à Tokyo.
Je n’oublierai jamais ses coups de couteau dans la cuisine en train de couper les choux tout en pleurant. Elle pleurait à cause de mes paroles, trop sévères. Comment cela a-t-il pu finir ainsi ?
Ce n’est pas pour me vanter mais lorsque j’étais enfant, j’étais bonne à l’école – matières générales, musique, sport, art, etc. Donc j’ai toujours eu beaucoup d’amis mais un jour ils m’ont tourné le dos, juste...
Parce que tu étais là pour moi : Maeda Atsuko
Ceci est l’histoire écrite par Acchan sur la façon dont elle a été sauvée par les mots de sa mère quand elle était déprimée et comment elle se retira dans sa chambre en refusant de la quitter.
J’ai été sauvée par les mots de ma mère
Cela fait 5 ans que je suis dans les AKB. En fait, il y a eu une fois, lors de ces 5 ans, où j’ai perdu confiance en moi. J’ai causé du souci à ma famille et au staff. Qu’importe ce qu’il se passait, je n’avais pas envie de quitter ma maison, je me suis retirée dans ma chambre et éteint mon téléphone…
Il y a 4 ans, quand j’étais en 3ème, la Team B n’était pas encore créée et nous n’étions pas très connues. Je me demandais quand deviendrons-nous connues. Peut-être que c’était très dur d’être plus célèbre que ça… Bien que j’ai eu ce sombre sentiment, j’ai eu l’opportunité d’apparaitre dans un film. Quand j’ai entendu la nouvelle, j’ai eu peur. Je me demandais si c ‘était bien pour moi d’apparaître dans un film. J’étais inquiète sur ce que les gens...
Parce que tu étais là pour moi : Watanabe Mayu
Lors de cette interview, Watanabe Mayu parle de sa mère. Les robots aussi peuvent avoir des sentiments !
Le message qui a renforcé les liens avec ma mère.
J’ai passé l’audition des AKB quand j’étais en 6ème. Durant cette période, j’en étais presque à me renfermer sur moi-même. A l’école, j’étais le “fantôme” de la classe, et quand je rentrais chez moi, je regardais immédiatement des animes sur mon ordinateur et dessinais divers personnages, j’étais totalement transportée dans le monde de la 2D. Même à table, en famille, je ne parlais pas avec eux… J’ai continué à vivre de cette façon pendant deux ans. C’est donc par le net que j’ai connu les AKB. Dans un premier temps, ma mère désapprouvait que je rejoigne le domaine du divertissement, mais après s’être rendue compte que cela pouvait me faire devenir plus sociable et active, elle a finalement approuvé ma décision.
Après avoir rejoins les AKB, ma mère a commencé à faire quelque chose de nouveau, écrire des textos avec le...
Parce que tu étais là pour moi : Takayanagi Akane
Dans cette interview, Takayanagi Akane de la Team KII des SKE48 parle de sa mère, comment elle l’a transformée depuis la personne introvertie en la personne qu’elle est maintenant.
J’étais introvertie mais les mots magiques de ma mère m’ont changés.
En septembre, nous avons finalement reçu le CD Demo de la part du staff avec des chansons originales de notre performance.
Je l’ai précieusement mis dans mon sac et je me suis précipité chez moi tout en resistant à l’envie de courir.
Avec les groupes AKB48, une nouvelle team commence habituellement avec une liste de chanson excitante pour gagner de l’expérience avant le matériel original leur soit donné pour leurs performances.
Je n’oublierai pas le jour où j’ai gaiement tenu la main des autres membres.
Le groupe AKB48 était très occupé à ce moment-là et notre nouvelle et originale performance était retardée encore et encore.
C’était difficile de regarder la frustation des membres à chaque fois qu’une représentation était...
Parce que tu étais là pour moi : Matsui Rena
Dans cette interview, Matsui Rena parle de ses amis du lycée, qu’ils ont toujours pensaient à elle, même si elle n’était pas vraiment sympathique avec eux. Tout comme lors des jours d’école où elle est devenue plus gaie et moins timide qu’avant.
L’amitié qui a été gravée sur une simple photo
Mes journées sont très productives – tout ce qui concerne mon travail est stimulant et ça vaut la peine de le faire. Mais parfois je me demande si je suis en train de me perdre moi-même? Je le pense parfois. Les nuits comme celles-ci, je me remets sur le bon chemin en regardant une photo en particulier.
Ma vie au lycée était la seule chose que j’ai eue en dehors de SKE au cours de ces années. Je vais à l’école le matin, puis aux leçons de danse des SKE l’après-midi, suivi par la performance. Je suis allée dans un lycée de commerce, c’est pour cela que les cours étaient très spécialisés/professionnels et il était difficile de rattraper le retard en ratant ne serais-ce qu’un seul...